PROBLÈMES DE SANTÉ MENTALE

 PROBLÈMES DE SANTÉ MENTALE

Le travail des enfants et les problèmes de bien-être profonds qui y sont liés font partie de nos défis les plus urgents. Les effets psychologiques du travail des jeunes peuvent être plus phénoménaux que ses véritables répercussions. Mais le pouvoir public ici se souvient qu'en tant que péril social, peu d'efforts sont déployés pour enquêter sur l'impact du travail des enfants sur l'amélioration sociale et directe d'un jeune expert. De cette manière, divers travailleurs de jeunesse se voient refuser un soutien et une direction psychosociale lorsqu'ils subissent des abus, des abus et des saisons de contraintes prolongées de la part de leurs proches.

Un rapport de l'OIT (2021) a révélé que 69,4 % des enfants travaillaient dans l'agriculture, suivis de 19,7 % dans la région des organisations et de 10,9 % supplémentaires dans l'industrie. Les jeunes ont participé ici dès le départ à des périodes de travail prolongées, privés de leur qualification pour apporter une énergie de qualité à leurs familles et amis. Ces longs délais les empêchent de construire une association solide avec leurs amis et leur famille et les transforment en adultes indignes de confiance risquant de créer de graves problèmes proches et chers.

Divers jeunes experts locaux en la matière et ouvriers du foyer, loin de chez eux et de leur quartier, des tromperies sexuelles et des abus mentaux qui déclenchent des vibrations d'angoisse, de honte, de misère, d'abandon et de manque de confiance en eux. Ces enfants sont plus enclins aux tremblements mentaux. Il s'appuie vraiment sur le pouvoir public pour concevoir et transmettre des domaines solides importants pour lutter contre les problèmes de prospérité profonds reconnus chez les adolescents qui ont participé au travail.

La discussion de la loi et du système sur le travail des enfants au Pakistan ne tient pas compte des périls mentaux incroyablement plus élevés qui divergent des risques réels auxquels sont confrontés les jeunes qui travaillent. Les lignes directrices sur le travail des jeunes, par exemple, la loi de 1991 sur la création par les enfants et la loi de 2016 sur les contraintes des entreprises du Pendjab, suggèrent un « travail périlleux », qui intègre la réceptivité aux préjudices avec des influences psychosociales. On se demande pourquoi les facteurs psychosociaux ne se distinguent pas qu'ils méritent dans le sens de la ligne directrice et du système associés au travail de jeunesse. Le cadre directeur et technique en cours sur le travail des enfants ne traite pas les séquelles proches et personnelles des présomptions contre-intuitives pour la productivité du travail et l'absence d'encouragement et de parrainage accordés aux jeunes liés au travail. Il n'aborde pas non plus le reproche et la discipline pour l'impuissance à accomplir des efforts d'une manière utile et utile.